Clis slash étoile ciel de mer

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        Le vent souffle. Le soleil dore. La foudre s’abat.
Les angles se brisent, l’espace se plie et se divise en degrés. Spatiaux, thermiques, sonores.
Les éléments jouent entre eux, trouvent des solutions pour s’unir ou se contredire s’abandonnent à l’informe ou se cristallisent en symboles, oscillent.
Ils vont et viennent entre sens et abstraction et créent quelque chose comme un ciel. Un ciel chargé de terre, de trous ou d’icônes qui sont autant de portes d’accès vers des ailleurs.
Des monstres et des étoiles apparaissent et dansent dans le flottement de l’entre-mondes.
Une foule. Des flux.
Parfois, des aberrations météorologiques tentent de conjurer le hasard tout en le rendant palpable.
      La peinture vue comme maquillage, masque, envers du monde. Elle s’amuse à se présenter comme filtre, écran ou image(s). Elle souhaite ouvrir à celui qui regarde un champ d’interprétation proche de ce que pourrait être celui d’une énigme.